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Le printemps, l’heure de profiter de vos espaces verts

Grâce à ses 15 ans d’expérience et sa centaine de salariés,  Arbéo intervient à tout moment de l’année chez les particuliers et dans les entreprises. Formés et sensibilisés aux milieux naturels, ces spécialistes vous conseillent et vous aident à respecter l’équilibre de vos arbres, arbustes d’ornement, haies et autres végétaux. Ces experts de l’espace vert s’adaptent à vos besoins et à vos contraintes environnementales. L’apparence esthétique et la silhouette du végétal mettra en valeur votre patrimoine arboré. Une mauvaise taille diminuerait considérablement son système de défense.

Tailler ou élaguer, c’est préserver la santé de nos arbres

Comme nous l’indique Sylvestre Pautet, professionnel de l’élagage  : ‘Cette intervention raisonnée permet de canaliser progressivement le développement de la plante et de l’adapter à long terme à son écosystème. Un tiers maximum de sa surface foliaire sera supprimé lors de la taille afin que la production de substances de croissance reste suffisante pour assurer à l’arbre une évolution normale.’

L’éco-pâturage

Des chèvres, des moutons et des vaches de race française, une pratique ancestrale mais écologique pour tondre et débroussailler petites et grandes surfaces. Une formule originale pour l’entretien de vos terrains ou espaces difficilement mécanisables ou difficiles d’accès.

‘Nous privilégions les races françaises anciennes rustiques pour des petites surfaces : des chèvres des fossés, des solognotes ou des moutons d’Ouessant et pour les surfaces plus importantes : des vaches pie bleu ou pie noir’ nous explique Hervé Bulté, Responsable du Projet Eco-pâturage.

Une prestation en réponse à chaque besoin

Espaces naturels et génie écologique (entretien des espaces naturels sensibles, création et restauration de milieux humides et plans d’eau), travaux forestiers, entretien de la végétation aux abords des réseaux, rivières et génie végétal (travaux d’abattage et d’élagage, enlèvement d’embâcles, restauration des berges en génie végétal, aménagement piscicoles), plantations, traitements phytosanitaires (contrôlé en mesures prophylactiques), dessouchage… Arbéo étudie vos problématiques et vous propose les solutions adéquates.

Contact : Hervé Bulté – herve.bulte@arbeo.fr – 06 22 48 27 07 – www.arbeo.fr – 3 rue de la Barrière – 89160  FULVY            

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Valoriser son cheval de sport

Cavalier maison et groom dans les plus prestigieuses écuries françaises : Bost à Fontainebleau, Garez à Chalons-sur-Saône ou encore Donzé à Metz pour ne citer qu’elles, Christophe Collé compte déjà 20 ans d’expérience dans le milieu de l’équitation. Un premier stage dans un centre équestre à l’âge de 14 ans l’a convaincu de poursuivre des études dans le domaine équin.

Un programme adapté à chaque équidé

Installé aux Ecuries des Croix, au sud de Sens dans l’Yonne, Christophe s’est lancé voilà 2 ans dans la valorisation des chevaux. ‘J’achète des chevaux relativement jeunes, maximum 3 ans et demi, et les travaille en moyenne 4 heures par jour (écuries, soins et travail en carrière). Je leur construis une méthode d’apprentissage en fonction de leur histoire. Je les débourre s’ils ne le sont pas, puis les fais progresser dans le but de les revendre. Généralement un cheval est débourré à 3 ans, il effectue ses premiers sauts avec cavalier vers 3 ans et demi puis passe quelques mois au pré et commence les concours ‘jeunes chevaux’ à 4 ans et jusqu’à l’âge de 7 ans. Le cheval peut être revendu dès ses 4 ans mais peut être valorisé encore quelques années.

Un investissement financier aventureux

Spécialisé dans le selle français, l’investissement peut cependant comporter quelques risques. Un animal est avant tout un être vivant, il peut se blesser, attraper une maladie… et ses performances sportives en seront amputées. Les clients de Christophe sont des particuliers et des professionnels. Les chevaux âgés peuvent eux aussi être remis au travail après des années au pré et leur programme de valorisation sera alors adapté à leur cursus et à leur âge.

Les jeunes chevaux prennent de la valeur en fonction de leurs classements et leurs gains dans les concours pour ‘jeunes chevaux’. Les 4 ans ne peuvent excéder 16 tours par an et 25 tours pour les 5 ans. Les finales en cycles libres et classiques ont lieu en fin de saison et permettent la vente selon les qualifications.

Plus d’infos : Chistophe Collé – 6 route de Saint-Julien-du-Sault – Les croix – 89 500 Bussy-le-Repos – 03 86 83 90 50 ou 06 82 77 09 07 - equivente89@gmail.comHTTP://equivente.e-monsite.com

Crédits photo : Kréalise

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L’activité touristique au ralenti à Paris

Diplômée des Beaux-Arts, Hélène a d’abord enseigné le dessin puis son activité de photographe qui n’était alors qu’un complément de revenu est devenu son activité principale. Elle est ‘filmeuse’ comme on dit dans le jargon de la photographie. Elle réalise de jolis portraits souvenir de familles ou de couples en visite dans la capitale. Ses clients viennent du monde entier : Europe, Amérique Latine, Etats-Unis, Chine, Australie, Japon, Corée… ‘Ce sont des couples qui viennent profiter du romantisme de Paris, des familles en vacances ou des groupes’ nous explique la jeune photographe.

Puis le 13 novembre… 

‘Mon chiffre d’affaires s’est écroulé. L’incidence des attentats a été immédiate : la Tour Eiffel a été fermée, les réservations dans les hôtels et les restaurants ont été annulées’ confie Hélène. ‘J’ai moi-même été très affectée, submergée par l’émotion. J’habite le quartier qui a été visé, j’ai eu besoin, les jours suivants, de me retrouver en famille pour être rassurée et ai cessé de prendre le métro pendant plusieurs jours. Malheureusement l’actualité nous rappelle que les évènements ne sont pas terminés’.

La capitale boudée des touristes

‘Depuis les attentats de Paris, je travaille en pointillés et j’ai du pallier à ma perte de chiffre d’affaires en acceptant rapidement des jobs alimentaires. Le secteur du tourisme a beaucoup perdu. Heureusement, l’activité reprend et Paris a accueilli beaucoup de touristes pendant le weekend de Pâques. J’espère que la saison touristique sera bonne à nouveau’ explique Hélène.

Hélène travaille également dans l’Yonne d’où elle est native et propose, aussi bien sur Paris que dans l’Yonne, de réaliser vos photos de mariage ou d’entreprise.

Hélène Iodtschin – www.photohelene.paris – 06 13 77 53 40

 

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Un titre de Maître Restaurateur pour le Délice des Galets

Un an pour obtenir l’emblème tant convoitée des restaurants traditionnels. ‘Ce titre nous est attribué pour 5 ans mais il peut nous être repris à tout moment lors d’une inspection inopinée. C’est, pour nous, une distinction et un gage de qualité vis-à-vis de notre clientèle. Un client mystère est venu déjeuner, il a posé des questions sur les plats, les vins, a observé l’ambiance du restaurant, la mise en place, le cadre et s’est présenté au moment de l’addition pour avoir accès à la cuisine, aux frigos et aux documents officiels : diplômes, factures, étiquettes des produits (traçabilité)… pour rendre son verdict favorable ou défavorable’ nous raconte Valérie Roy-Gallet, la gérante du lieu.

Une histoire de famille

‘Nous avions ce projet depuis longtemps avec mon frère, Eric Gallet (le Bourgogne à Auxerre) de créer comme une succursale du Bourgogne. Mais le projet a été adapté depuis son ouverture en 2013 pour répondre à la demande locale, une préférence pour une cuisine du terroir. Nous cuisinons même de la tête de veau en été, c’est un mets permanent que nos clients nous réclament toute l’année. Notre carte change tous les trimestres en proposant des suggestions hebdomadaires selon la saison. Par exemple, nous n’avons pas de tomates en hiver !’ sourit Valérie.

Un cadre chic et branché

Une salle chaleureuse, moderne, un mobilier épuré mais élégant, 5 salariés aux petits soins, les clients doivent se sentir aussi détendus qu’à la maison. Ils viennent déguster de jolis plats mijotés avec amour et découvrir une cuisine traditionnelle revisitée avec originalité par le Chef, Camille Picon. Escargots en meurette, rognons sauce foie gras, paleron de bœuf sauce bourguignonne, pied de cochon, aumônière d’ananas banane et crème d’amandes, profiteroles vanille coulis chocolat… Les produits sont frais, de saison et cuisinés sur place. Lorsque les matières sont soigneusement sélectionnées, les plats proposés sont forcément goûteux. Le chef s’adapte facilement aux demandes ‘Si une cliente est allergique, nous lui concocterons un menu rien que pour elle’.

Les groupes sont les bienvenus

Mariages, anniversaires, repas de fin d’année, la salle de restaurant peut être privatisée pour des évènements ponctuels jusqu’à 50 personnes. Le chef, très créatif et inspiré, saura vous proposer de magnifiques et délicieux desserts appropriés à l’occasion. Ses spécialités : les desserts aux mousses de fruits frais et les gâteaux au chocolat.

Le Délice des galets est partenaire de circuits touristiques et de Tripadvisor.

A découvrir absolument…

Ouvert du mercredi midi au dimanche soir – menu du jour du mercredi midi au samedi midi : 14.00 € les 2 plats et 18.00 € les 3.

Réservations au 03 86 44 83 67 – 7 Place de la République—89 130 TOUCY – Email : ledelicedesgalets@gmail.com

Portrait Alan

Et si le rêve américain c’était l’Arizona ?

L’Arizona, l’ouest américain à la frontière de la Californie et du Mexique, à la croisée des autoroutes et des transports ferroviaires entre le Canada et l’Amérique centrale, le Grand Canyon… voilà ce que les français connaissent de cet état. Pourtant il offre de nombreux avantages aux entreprises qui s’y installent par rapport aux mégalopoles de New York, Miami ou de la Silicon Valley. Comme les entreprises françaises qui fuient les taxes en partant s’installer en Belgique, les entreprises californiennes délocalisent en Arizona où les impôts sont inférieurs de 30 % avec en plus un accès direct au marché californien.

Une vie plus attrayante

‘Je suis parti suivre mes études à l’Université de Bowling Green State dans l’Ohio puis j’ai décidé de m’installer aux Etats-Unis après être revenu quelques années en France. 4 ans sont nécessaires pour bien comprendre le fonctionnement américain et se rendre compte qu’on vit mieux de l’autre côté de l’Atlantique. Personnellement, je me sens plus à l’aise aux USA, l’enseignement y est plus positif dans les écoles et les enfants ont plus d’opportunités culturelles. Les européens sont les bienvenus, les américains sont ouverts d’esprit et ce sont les produits et services proposés qui comptent’ nous explique Alain.

Une heure et quelques centaines de dollars pour créer une entreprise

Tout paraît plus facile : pas de contrat de travail et cela fonctionne dans les deux sens. L’employeur peut vous mettre à pied sans préavis et inversement vous pouvez quitter l’entreprise sans donner de préavis. Les bénéfices sociaux ne sont pas obligatoires mais existent dans toutes les structures. ‘Bien sûr les prétendants au rêve américain doivent avoir l’esprit de pionnier, le goût du risque, être très positifs et, comme ils sont éloignés des supports familiaux traditionnels, l’entraide et le réseautage comptent beaucoup. Les américains ont une éthique et des valeurs morales très fortes, ils aiment leur travail et éprouvent moins le besoin de prendre des vacances que les français’ raconte Alain de son expérience américaine.

Bienvenue aux entreprises françaises

Les français en rêvent ! Avec une vingtaine d’incubateurs, l’Arizona accueille des start-ups, des TPE, PME et offre des subventions pour les aider. Phoenix, la capitale, est d’une grandeur équivalente à Paris et des entreprises de renommée internationale telles que Boeing, Honeywell, Intel, Apple, Amazon, Veolia, Paypal, Shamrock farms y sont installées ainsi que la plus grande université des Etats-Unis : Arizona State University (70000 étudiants) et la mondialement connue University of Arizona pour la télé médecine.

Alors prêt pour le rêve américain ?

Plus d’infos : Alain Carey - Managing Director - Global Business Inc. - 602 743 7283 – careyar@gmail.com

Photo Catherine

Auxy’Germe , le groupe Germe de l’Yonne

Animé depuis début 2015 par l’incontournable Catherine Guignard-Millet (voir notre article du 28 janvier 2016 ci-dessous), le groupe icaunais GERME (entendez Groupe d’Entrainement  de Réflexion au Management des Entreprises) se réunit chaque mois dans l’Yonne. Il propose des journées de formation et d’échange au cours desquelles une quinzaine de managers viennent s’entraîner et réfléchir avec des professionnels dans le but d’enrichir leurs pratiques managériales au profit de leur entreprise.

3 axes de réflexion fondamentaux

Partager ses expériences, donner du sens à sa fonction et, développer l’homme et l’entreprise afin que chaque manager s’épanouisse dans son métier d’encadrant. Les formations proposées par GERME ont pour ambition de faire progresser le manager en livrant ses expériences et ses problématiques managériales aux autres participants. Intégrer GERME, c’est adhérer à des valeurs de d’humanisme où progrès, respect, ouverture, confiance, humilité et partage sont les clés de la posture managériale.

Quelques exemples de thématiques

• Comment intégrer les jeunes et leurs comportements dans l’entreprise ?

• Comment constituer une équipe solidaire ?

• La délégation, exigence ou nécessité ?

• Se recentrer sur ses énergies pour développer une attitude intérieure positive,

• Le marketing au service de la stratégie ou comment se différencier autrement que par le prix ?

• Comment motiver et donner du sens au quotidien grâce à la vision mentale ?

• Le manager : Positionnement et légitimité, ou comment utiliser les bons outils de management ?

• Comment apprendre à décider tout en maîtrisant un environnement incertain ?

• Le manager en forme. Comment assurer son équilibre face aux exigences de son métier ?

• Le développement durable…

Pourquoi rejoindre GERME ?

‘Au début par curiosité, mais après un an d’adhésion, c’est un vrai plus. C’est un vrai enrichissement personnel et professionnel. Nous abordons des sujets qui ont un vrai sens dans ma vie professionnelle de tous les jours avec des mises en pratique immédiates. Auxy’germe est un vrai groupe de partage et d’échange qui fait du bien,  c’est une bouffée d’oxygène et de recul car nous sommes parfois trop envahis par le quotidien. Mais c’est aussi, pour moi, la création d’un réseau de connaissances dans d’autres domaines que la mien (l’agro-alimentaire), et un réel bénéfice au travers des échanges, un partage d’expériences par rapport à des situations similaires’ nous confie Guillaume Barberon, Directeur d’Exploitation ‘Au plaisir des mets – Festins de Bourgogne’ à Appoigny (89).

Découvrir GERME

Un petit déjeuner est organisé le Jeudi 7 avril de 8h30 à 9h30 au Plaisir des Mets (Festins de Bourgogne) 10 chemin de Pougy à Appoigny (ex-usine Amora Maille) afin de présenter le réseau.

Contact : Catherine Guignard-Millet – Animatrice Groupe Auxy’Germe – 06 27 15 06 30 – catherine.guignardmillet@orange.fr

http://www.germe.com/groupe/auxerre-auxygerme

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Eden Nail’s & Co, un bar à ongles à Villeneuve-sur-Yonne

Prothèses ongulaires, maquillage permanent, extensions de cils sont les spécialités de Floriane, jeune esthéticienne, prothésiste ongulaire et dermographe installée depuis un an dans le centre historique de Villeneuve-sur-Yonne. De nouveaux métiers, apparus ces dernières années, alors que ces soins étaient réservés aux stars de cinéma jusque récemment encore.

Le bien-être à tout âge

Ce n’était pas la carrière à laquelle elle se destinait initialement mais ses études en gestion lui sont finalement utiles aujourd’hui pour gérer sa petite entreprise. ‘J’ai toujours été attirée par la beauté et pour moi, celle-ci passe par les mains et les pieds’ nous confie la jeune Chef d’entreprise lors d’une démonstration chez Spa Formation à Joigny. Ses clientes ont entre 15 et 85 ans, le bien-être s’entretient à tout âge, même si son cœur de cible a en moyenne 35 ans. A Villeneuve-sur-Yonne, elle occupe un emplacement de choix, sans concurrence proche. Elle propose des prestations originales et différentes des instituts traditionnels. Son rêve : ouvrir un second institut dans le sud de la France.

Plus d’informations : Eden Nail’s & Co – 1 Place Briard – 89500 Villeneuve-sur-Yonne – 06 58 22 51 55

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Les horlogers fêtent Pâques

Voilà deux ans que les commerçants du quartier de l’horloge ont décidé de se réunir en collectif pour rendre leur quartier vivant à certains moments clés de l’année en partenariat avec les jeunes agriculteurs de l’Yonne et le poney club de Villefargeau.

Couleurs de fête

Un Quartier décoré en bleu, jaune et vert, un arbre de Pâques installé près de l’Horloge et de la paille sur le sol pour accueillir les balades en poney rue de la Draperie, et les vache, veau, cochon, mouton, agneau et poules sur la place de l’hôtel de ville. Les jeunes agriculteurs animeront une course de tracteurs à pédales et une démonstration de vaches sauteuses.

Un atelier dessins et décoration d’œufs sera également proposé aux plus jeunes.

Lieu : Quartier de l’Horloge à Auxerre – samedi 26 mars de 10 à 18 heures.

Informations : Nelly LEGA 03 86 33 00 75 – Olivier LECLERC 06 85 73 53 44

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La chèvrerie de Branches transformée en maternité, ce printemps

300 chevreaux et chevrettes verront le jour au Gaec Desmoutiers-Breton en 2016. Les vêlages ont commencé voilà 3 semaines pour les naissances du printemps et d’autres sont attendus en octobre. 300 bébés qui renforceront les rangs de l’élevage caprin, même si seules 60 chevrettes seront conservées au sein de la ferme pour renouveler le cheptel. Les autres petits seront vendus pour l’élevage et la production laitière. 2 bébés sont nés pendant notre reportage, de quoi stimuler l’adoration des enfants pour ces jolies peluches.

18 ans que l’exploitation enchante le village

La chèvrerie de Branches fêtera les 18 ans de sa création cette année. A l’initiative de Joël Desmoutiers et de Gérard Breton, la ferme emploie aujourd’hui 5 personnes à temps complet. Les 200 chèvres produisent à elles seules 850 litres de lait par an soit environ 3 litres par chèvre et par jour. Le lait est ensuite transformé en fromages blancs en faisselle, fromages frais natures ou à la ciboulette et des fromages affinés : bouchons apéritif, crottins, pyramides, bûches… pour le plus grand plaisir de nos papilles. Gérard Breton, cuisinier de formation et épicurien, fabrique, chaque jour, des plats cuisinés : de délicieux feuilletés, des tartes salées et sucrées au fromage blanc (un régal !)… et des feuilletés apéritifs pour les fêtes.

6 marchés par semaine

Les mardis à Aillant-sur-Tholon, les jeudis à Migennes, les vendredis à Auxerre, les samedis à Joigny et à Saint Florentin et les dimanches à Appoigny. La boutique est ouverte tous les jours de 14 à 20 heures et pour les retardataires : le dimanche de 18h30 à 20 heures.

Déjeuner à la ferme

Chaque dimanche de Pentecôte, environ 300 convives viennent déguster un repas entièrement préparé à base de fromages de chèvres. La rue Cadoux est fermée pour l’occasion, interdite à la circulation pour accueillir des tablées de gourmands. Pensez à réserver.

Contact : GAEC Desmoutiers-Breton – 10 Rue Cadoux – 89113 Branches – 03 86 73 78 70

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Keigo Kimura, le succès d’un chef nippon à Auxerre

Garbure au foie gras poêlé, tartare de poisson, pintade farcie, charlotte et glace à la pomme, le chef a grandi dans les saveurs de la cuisine française que son père affectionne particulièrement et sert à ses clients au Japon.

De Joël Robuchon à Coutanceau, en passant par Marc Veyrat auquel il renvoie un clin d’œil en choisissant le nom d’une plante chère à ce virtuose de la gastronomie pour baptiser son enseigne. Le jeune chef a préféré l’Yonne pour installer son premier établissement : une bâtisse traditionnelle en pierre de taille au cœur de la vieille ville, une salle rustique épurée, chic et moderne accueille une vingtaine de convives à chaque service.

Des menus à 26 et 31 € le midi et un menu découverte à 60 € le soir. Le restaurant, étoilé depuis un an, est complet deux mois à l’avance, tant la cuisine y est raffinée, savoureuse et délicate. Des mets choisis avec le plus grand soin chez des producteurs pour la plupart locaux, cuisinés avec une créativité intéressante et mis en scène avec imagination et élégance.

L’Aspérule – 34 rue du Pont – 89000 Auxerre – tél. : 03 86 33 24 32

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La Savoie, le pays du Reblochon

C’est ici dans la montagne Haute-Savoyarde que l’on fabrique l’un des meilleurs Reblochon fermier. Delphine Socquet et son mari ont repris la ferme familiale de 73 vaches afin de pérenniser la tradition. ‘Le Reblochon, c’est le fromage des touristes’ lance la pétillante agricultrice en initiant les visiteurs à la fabrication du savoureux fromage, ‘les Savoyards préfèrent la tome !’ continue-t-elle. En effet, 85 % de la production de Reblochon sont cuisinés en tartiflettes alors que seulement 15 % terminent leur route sur nos tables.

Une production fermière encadrée

Seules trois races de vaches sont autorisées pour obtenir la précieuse Appellation d’Origine Protégée : la Montbéliarde, l’Abondance et la Tarine. Une alimentation naturelle pour garantir la qualité du lait, et une fabrication entièrement manuelle qui commence tout de suite après la traite, soit deux fois par jour. Caillage, découpe du caillé, moulage sur une toile de lin, pose de la fameuse pastille verte, démoulage, salage, pré-affinage pendant 6 jours dans un séchoir et enfin affinage en cave pendant encore deux semaines avant d’être vendus.

4.5 litres de lait par Reblochon

C’est la quantité nécessaire pour obtenir un Reblochon de 450 g.  La production de Reblochon et de Tome de la famille Socquet est vendue sur place, à la boutique, et sur 8 marchés des alentours chaque semaine. Des ‘soirées découverte’ sont organisées régulièrement à la ferme suivies d’un délicieux repas concocté par le maître des lieux reconverti en cuisinier pour ces occasions.

Contact : Ferme des Montagnards – 74 Chemin Des Posés – 74920 Combloux – 06 21 02 18 99 – delphine.socquet@outlook.fr

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Enfin une antenne Réseau Entreprendre dans l’Yonne

Et pour représenter le réseau dans l’Yonne : Catherine Guignard-Millet, très appréciée des entrepreneurs icaunais qu’elle côtoie depuis 20 ans. Icaunaise d’adoption, Catherine a été séduite par notre département lors d’un stage au sein du Groupe Bongrain. Maîtrise de sociologie du travail et DESS en management et gestion d’entreprise en poche, Catherine décide de se consacrer à l’emploi dans l’Yonne.

‘Pour créer des emplois, créons des employeurs’ était la maxime d’André Mulliez, le fondateur du réseau

‘Je partage complètement ces valeurs militantes’ nous confie Catherine. ‘Avec la Nièvre, l’Yonne fait figure de “parent pauvre” de la noble Bourgogne et je me refuse à aller sur cette pensée facile car nous avons de multiples talents ! Nous sommes aux portes de Paris, avons des personnes physiques ou morales attachées à leur territoire et à leur savoir-faire, et nous avons des chefs d’entreprises qui ont envie de faire “bouger les lignes“ sur l’Yonne. Energie, Envie, Talent, Réseau, … cela doit fonctionner.  N’oublions pas que dans l’Yonne, une société sur 2 ferme … faute de repreneurs …. et REB accompagne bénévolement pendant 2 à 3 ans des repreneurs profil PME qui pérenniseront des emplois, nous avons des choses à faire ensemble pour créer ou conserver des emplois dans l’Yonne !’ explique Catherine.

 175 projets accompagnés en 14 ans

En Bourgogne, plus de 2000 emplois ont été créés ou maintenus avec un taux de pérennisation à 10 ans de 85 %. 150 Chefs d’entreprises bourguignons sont adhérents du réseau.

Contacts : Catherine Guignard-Millet – 06 27 15 06 30 – cguignard-millet@reseau-entreprendre.org

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L’équitation, plus qu’un sport, une passion

L’Yonne compte un peu plus de 70 écuries entre les centres équestres, les poney-clubs et les haras de propriétaires.

Compétiteurs de horse-ball, de dressage ou de saut d’obstacle, la trêve hivernale est imposée à tous les amoureux d’équitation sans vraiment être une obligation officielle. Les journées courtes, les mauvaises  conditions climatiques : le froid, le gel, la pluie réunissent toutes les situations extrêmes à la pratique de l’équitation. Cette pause est malgré tout utile pour les équidés. Outre le fait qu’il soit dangereux de les faire galoper, marcher ou sauter sur des sols gelés, la trêve hivernale permet de travailler leur mental et leur physique en vue de la reprise des concours en février-mars selon la météo. Certains concours sont toutefois organisés ‘indoor’ lorsque les structures le permettent.

‘Devenir propriétaire d’un centre équestre, un rêve d’enfant’

‘Le rêve de transmettre sa passion en enseignant les techniques équestres à un public de tous âges et tous niveaux confondus et apporter satisfaction aux clients quelques soient leur motivation pour ce sport. La gestion personnalisée de la cavalerie et des cavaliers rendent ce travail attrayant et varié’ nous explique Guénaëlle Dutillet, coach et propriétaire des Ecuries des Croix à Bussy le Repos.

Presque un sacerdoce

Peu de temps pour soi et des charges élevées. L’augmentation de la TVA cette année empêche les petites structures d’embaucher et les contraintes administratives sont de réels freins au développement de l’activité. Les centres équestres doivent bien choisir leur stratégie : augmenter les tarifs pour palier à l’accroissement des coûts de fonctionnement ou réduire les bénéfices et par conséquent leur rémunération ? Tous n’ont malheureusement pas survécu cette année et beaucoup sont en difficulté financière.

Crédit photo : Kréalise.com

13 novembre 2015

Voilà les images que nous avons tous vu apparaître sur les réseaux sociaux depuis le 13 novembre dernier, le vendredi sanglant qui a marqué à jamais nos esprits, au même titre que le tristement célèbre 11 septembre 2001.

Un bel élan de solidarité a resserré les rangs de la nation entière et de l’occident, et un élan de générosité inattendu. Des milliers de parisiens se sont immédiatement précipités dans les hôpitaux pour donner leur sang afin de venir en aide aux nombreux blessés des attentats, beaucoup de dons ont été récoltés pour les orphelins. De nombreuses demandes pour devenir secouristes, pompiers, militaires sont arrivées sur les bureaux de nos administrations. Des vocations… suscitées par ces drames.

Notre insouciance meurtrie

Le globe entier envie depuis toujours notre manière de vivre, nos restaurants, nos cafés, nos boîtes de nuit ouvertes jusqu’au petit matin, notre culture, nos écrivains, nos artistes… Cette vie insouciante qui aujourd’hui visiblement dérange certains groupuscules conditionnés, endoctrinés par une minorité d’incultes, malades, qui, très courageux, commet des meurtres sous l’emprise de drogues.

Nos politiques savaient, nous savions

Depuis des mois des années, la menace était, est palpable. Comment expliquer qu’un tel drame arrive dans notre pays ? Comment expliquer que depuis les attentats de janvier, l’Etat n’ait pas réagi ? Nous, français, qui avons des services secrets brillants, des policiers et gendarmes d’élite que le monde nous envie. Toutes ces unités ont su démanteler en quelques jours seulement des planques, des trafics, avaient les noms des assaillants. Les fichés ‘S’ sont connus des services de police, et pourtant ils sont libres, libres de commettre l’irréparable.

Pourquoi l’Etat français n’a-t-il pas pris plus au sérieux les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper cacher ? Pourquoi faut-il toujours qu’un drame aussi important arrive avant que le gouvernement français ne réagisse ? Les morts de janvier n’étaient-ils pas déjà assez nombreux ? Les attaques pas suffisamment spectaculaires ?

Les Etats-Unis ont pris des mesures depuis 2001, déjoué des attentats, protégé leurs 320 millions de compatriotes, aucun attentat n’a été commis depuis celui des tours jumelles, nos politiques ne devraient-ils pas puiser chez notre allié des idées dans leur lutte contre le terrorisme ?

Et notre économie ?

Elle n’était déjà pas franchement florissante, la voilà aujourd’hui en deuil. Des aides vont être allouées pour le tourisme parisien paraît-il. Nous ne devons pas avoir peur de sortir, mais comment vaincre cette psychose ? Une fois encore, les français vont devoir payer solidairement les incompétences des politiques alors que ces attentats auraient pu être évités si les moyens avaient été mis en place voilà seulement quelques mois.

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Se libérer du RSI ou de l’URSSAF, parcours du combattant ?

26 mises en demeures, 14 passages d’huissiers et 4 audiences au TASS pour lesquelles des renvois successifs ont été décidés depuis le 1er janvier 2013, c’est le lot des libérés de la Sécu.

Depuis notre dernière interview voilà un an les procédures, toujours les mêmes, se sont enchainées : une mise en demeure en recommandé chaque trimestre par l’URSSAF et le RSI. ‘Avec la contestation de ces mises en demeure auprès des commissions de recours amiable, puis la contestation de la décision négative de ces commissions auprès du TASS (tribunal des affaires de sécurité sociale), je n’ai pas eu de passage d’huissier depuis 1 an. En effet, avec cette procédure, l’huissier ne peut délivrer des contraintes à payer qu’après le jugement définitif du TASS’ nous explique Laurent C.

Des pressions de l’URSSAF

‘Parallèlement, l’URSSAF a engagé des pressions indirectes sur moi au travers de la société dont je suis dirigeant non rémunéré. Pour une PME de 25 personnes un contrôle sur site dure généralement une demi-journée pour un contrôleur. Dans mon cas précis, deux contrôleurs URSSAF sont venus pendant 2 jours et reviendront une 3eme fois prochainement. Ils ne se sont pas cachés de venir spécialement pour moi’ raconte Laurent.

Bien décidé à ne pas lâcher, Laurent continue le combat contre le RSI et l’URSSAF à titre personnel et engage un nouveau combat contre l’URSSAF au titre de la société dont il est le dirigeant.

Obligé d’abandonner le combat contre la CIPAV, sa caisse de retraite

En effet, Laurent vient d’apprendre que s’il n’est pas à jour de ses cotisations retraites au moment de de prendre sa retraite, aucune pension ne lui sera versée. Peu importe le nombre d’années pendant lesquelles il aura cotisé, la CIPAV ne prendra en compte dans son calcul que les 5 dernières années. ‘C’est un système de type maffieux où il faut payer pour être protéger malgré soi, et où l’on perd tout si on n’accepte pas de se soumettre. Ce fonctionnement est particulier aux caisses de retraite du régime libéral. Ce n’est pas le cas à la retraite du RSI où ce dernier verse une pension calculée sur toutes les cotisations versées, même s’il manque des années de versements’ de quoi, en effet être excédé par le système.

Et la place de l’Etat dans tout cela ?

‘L’Etat fait mine de gérer la sécurité sociale en votant son budget et promulguant sans cesse de nouvelles lois mais il a laissé la main, depuis 1945, au paritarisme syndical qui gère toutes les caisses de sécurité sociale, soit 700 milliards, un tiers du PIB du pays, ou encore près de 80% de la totalité des prélèvements obligatoires tous impôts, taxes et cotisations confondus. C’est hallucinant’. Laurent nous rappelle que toutes ces caisses sont des organismes de droit privé, leurs salariés ne sont pas fonctionnaires. ‘L’Etat a donc cédé la totalité de la Sécu à des organismes privés qui sont autant de fromages pour les administrateurs syndicaux et tous ceux qui vivent sur la bête’.

D’après Laurent C., l’état n’a pas vraiment tranché, d’où le flou artistique

‘Soit l’Etat confirme qu’il s’agit d’un monopole et d’un service public et la Sécu doit devenir une administration publique, avec un seul régime légal pour tout le monde, financé par l’impôt, qui est le seul vrai outil de solidarité. Soit l’Etat se conforme aux directives européennes en organisant la mise en concurrence de tous ces organismes privés qui forment actuellement un véritable cartel et qui ont été désignés sans appel d’offres public !’ La diminution des cotisations, un souffle pour l’entreprise de Laurent C.

‘Depuis le 1er janvier 2013, les économies réalisées m’ont permis d’alimenter la trésorerie de ma société à hauteur de 45.000€ lors d’un trou d’air en 2014. Sans cela la société aurait été en cessation de paiement et une vingtaine de salariés à l’époque auraient été impactés. Le reste a été prudemment épargné. Maintenant ma société est toujours en vie, emploie 25 salariés et paye de l’impôt sur les sociétés pour financer la « solidarité » nationale’ analyse Laurent.

Pour l’instant, le RSI minimise de nombre de libérés de la Sécu mais le RSI et l’URSSAF envoient des huissiers à chacune des réunions de Libérés tant l’ampleur du mouvement les inquiète. Début 2015 la loi a renforcé fortement les peines en cas d’incitation à ne pas s’affilier à un régime de Sécurité Sociale : 30.000 € d’amende et 3 ans de prison ! Mieux vaut inciter à ne pas payer ses impôts : seulement 6 mois de prison et 7500€ d’amende.

Et Laurent ne regrette pas son choix ‘Je me sens responsable de ma vie, au sens propre, en choisissant ma protection sociale, qui change tout. Je me sens plus léger, au sens d’être libéré des chaines qui nous empêchent d’avancer plus vite. On se sent pousser des ailes’.

Très étonnant : aucune remise en question, ni de l’Etat, ni des partenaires sociaux qui gèrent la Sécu.

2 entrepreneurs et un agriculteur se suicident chaque jour à cause du poids des charges sociales qui coulent leur business, jamais les politiques n’en parlent.

Laurent nous informe d’une nouvelle étape

Après les travailleurs non-salariés, ce sont les travailleurs salariés qui vont aussi pouvoir se libérer et ainsi augmenter leur salaire net de 60% !  Par exemple celui qui touche 2000€ net (son salaire « prisonnier ») pourrait ainsi passer à 3200€ net (son salaire « libéré »). Bien entendu il devra s’assurer pour la maladie, la prévoyance et épargner pour sa retraite mais avec 1200€ il y a de la marge, sachant qu’une assurance maladie privée, qui fait aussi office de mutuelle, coûte 300 à 400€.

Christian PERSON, PDG du Groupe UMALIS participe ainsi au lancement de la société « LiberUP » www.liberup.com pour aider les salariés à se libérer. C’est une nouvelle grande étape vers la liberté de la protection sociale en France.

Laurent C. envisage une édition 2016 de son livre avec réactualisation des chiffres, de son combat et des dernières jurisprudences.

Plus de détails : http://jequittelasecu.blogspot.fr/

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Le démantèlement du Costa Concordia a enfin commencé !

Naufragé le 13 janvier 2012, près de l’île du Giglio au large de la Toscane, suite à une erreur de pilotage, le paquebot a rejoint voilà un an tout juste le port de Gênes pour y être enfin détruit. Une  vive émotion avait entouré, à cette époque, la disparition de 32 passagers.

Une première opération, colossale, de redressement du navire avait été commandée par le Groupe Carnival (armateur du bâtiment) en septembre 2013, une première mondiale jamais pratiquée sur un bateau de cette taille (219 mètres de long).

Le naufrage le plus cher de l’histoire

824 millions d’€uros, c’est le coût du redressement et du transfert du navire qui avait échoué sur des rochers sans compter les opérations de destruction et de démantèlement. Sa démolition s’élevant une centaine de millions d’€uros supplémentaires.

Démantèlement à Gênes

Les travaux de destruction ont commencé fin mai 2015, soit trois ans et demi après la catastrophe, et pourraient durer environ un an. Le paquebot devrait dans un premier temps être allégé de 5700 tonnes par des ouvriers spécialisés retirant d’abord les intérieurs et les ponts. La carcasse sera ensuite découpée pour être réutilisée et recyclée dans le secteur du bâtiment, l’acier sera vendu à la pièce.

Une opération d’envergure et un évènement gravé pour longtemps dans nos mémoires.

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POLLEN, des professionnels qui vous accompagnent

Pollen, un nom qui permet de visualiser une ruche remplie d’abeilles travailleuses comme le sont les travailleurs indépendants, un essaim pour construire un projet commun.

Un nouveau réseau composé de 10 personnes réunies autour d’un thème très actuel le bien-être en communiquant. Désireuses de partager leurs compétences et expériences, dynamiser leurs créativités et de mutualiser leurs moyens, ces 10 TPE icaunaises avaient un même besoin : partager.

‘Des réunions mensuelles nous permettent de nous ressourcer tous ensemble face à des problématiques professionnelles et de ne plus nous sentir seuls. Ce réseau nous enrichit des points de vue personnels de chacun et dans la manière très différente selon les membres d’aborder des situations’ nous confie Magalie.

Une mise en commun des compétences variées et complémentaires pour développer son activité et proposer des prestations innovantes et sur mesure.

Les membres et activités de Pollen :

Marie-Christine Bailliet – Médiation 89 : Médiation familiale, médiation d’entreprise,

Elisabeth Bonnet : Conseil Conjugal et Familial,

Florence Campenon : Conseil en communication d’entreprise et traduction,

Magalie Conduteau : Coaching et Formation en développement personnel et professionnel,

Frédérick Courtinade : Sophrologie, sophrothérapie,

Anissa Léger – Agapieds : réflexologue,

Sandra Leite – Epona Coach : coaching personnel et professionnel

Catherine Méheust : Psychopraticienne : Art-thérapie, psychothérapie,

Muriel THINEY – Bien-être & Détente : Particuliers, Entreprise, Institutions et Evènementiel.

 

Le réseau Pollen sera présent sur les Ridy (Rencontres Industrielles de l’Yonne) à Auxerrexpo le 8 octobre 2015 de 9 h à 19 h.

Contact : Florence CAMPENON – fcampenon@orange.fr

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Manger sain à prix malins

Après six mois d’existence, le Drive Fermier 89 compte déjà 680 clients et une moyenne de 50 commandes par semaine. Cette initiative du groupement ‘Bienvenue à la Ferme’ garantissant la qualité et l’origine des produits, a vu le jour en décembre 2014. Une quinzaine de producteurs de l’Yonne sont à l’origine du projet. Le principe est très simple, vous passez commande avant 14 heures le mercredi et vous êtes livré, par les producteur eux-mêmes, le vendredi entre 16 h et 18h30, sans minimum de commande, dans les locaux de l’entreprise Groupama, 18 rue Guynemer à Auxerre.

Liste des producteurs :

Damien BRAYOTEL : Framboises , confitures et jus de pommes
Guy et Monique MARTIN – Le jardin des vignes blanches : légumes de saison
EARL ALBENA/DURUZ : Fruits de saison, jus de pommes
EARL SAISON : Viande de porc et verrines
EARL du PERTHUIS : Viande de bœuf et de porc
Christophe ROUSSEAU – Ferme de Come : viande de bœuf, veau et volailles
EARL HIVERT : Canards et verrines
GAEC DESMOUTIERS BRETON: Fromages de chèvres et pâtisseries salées
SCEA GILLOT : Fromages de vache (Soumaintrain, …), yaourts et lait cru
Christine BUSSON : Miel , pains d’épices et confiseries au miel
EARL la FRINGALE : Pain, pâtisseries, viennoiseries, pâtes, farines et chocolats
Cave coopérative Henry de Vézelay : vins, crémant, ratafia
EARL RIVIERES : huiles
Jérémy MANDRON : œufs fermiers

Une bonne manière de se nourrir sainement et à prix doux.

Pour passer vos commandes : 06 89 91 68 13 ou en ligne sur le site www.drive-fermier.fr/89

Gaspillage alimentaire ou gaspillage de carton

Très surprenant pour les latins que nous sommes, le doggy bag sera obligatoire dans les restaurants de l’hexagone à partir du 1er janvier 2016 afin de lutter contre le gaspillage alimentaire. L’objectif premier étant de réduire celui-ci de 50% d’ici à 2025. Le ‘sac à restes’ existe depuis très longtemps dans les pays anglo-saxons, et bouscule notre culture du ‘finir à tout prix notre assiette’. Certainement des habitudes nous rappelant les guerres passées pendant lesquelles la population mourrait de faim.

Je me souviens de ma première fois dans une pizzeria d’Ottawa avec ma famille d’accueil, j’avais 14 ans. Le Papa de ma correspondante, accompagné des quatre ados que nous étions, demande en fin de repas à chacun s’il en a terminé, et commande alors des… doggy bags. La serveuse nous apporta ensuite des boîtes à pizza à emporter pour y déposer nos restes. Quelle surprise pour moi ! Je n’avais évidemment jamais vu cela en Europe même en ayant un peu voyagé. Et quelle surprise pour mes hôtes canadiens pour lesquels remmener ses restes à la maison était une habitude, de même pour les bouteilles de vin. Voilà une anecdote qui est restée gravée dans mon esprit et qui m’est revenue alors que cette idée fait débat en France.

Les fabricants de boîtes en carton et sachets papier vont pouvoir réfléchir à de nouveaux développements de produits ‘vraiment’ biodégradables à l’heure du développement durable et des magasins bio dans lesquels on supprime les emballages… 

OéBa

Oéba souhaite s’installer à Auxerre en 2015

Le premier réseau d’escaliers sur mesure a choisi la préfecture de l’Yonne pour implanter sa prochaine franchise. « Nous recherchons un futur franchisé, prêt à s’investir dans la création d’entreprise, formé à nos produits et à nos méthodes de commercialisation. Nous connaissons historiquement le marché et le bassin auxerrois, le potentiel est présent et nous avons déjà notre clientèle sur place. Une étude de faisabilité a été réalisée et nous a conforté dans notre choix  d’implantation » nous précise Remzi Kurban, directeur du développement de l’enseigne.

4 nouvelles franchises en 2015

Créée en 1976 par Jean-Pierre Bellier à Sully-la-Chapelle dans le Loiret, l’entreprise connaît actuellement un fort développement (50 salariés et 5 millions d’€uros de chiffre d’affaires) par la mise en place d’un réseau de franchises sur le territoire français (3 magasins aujourd’hui et 4 nouvelles franchises prévues en 2015) générant une croissance de 31.5 % entre 2010 et 2013. Depuis 2009, le siège est installé dans un nouveau bâtiment plus spacieux et moderne de 4000 m2 à Fay-aux-Loges près d’Orléans et développe des produits de qualité en bois, métal, verre ou mélange de matériaux, rustiques ou originaux. La marque de fabrique de l’entreprise est la création d’escaliers sur mesure mais aussi sa réactivité dans le traitement des commandes et son expertise à chaque étape de la chaîne (achat, fabrication, vente, pose). Les déchets produits par la société sont directement recyclés pour chauffer l’entreprise.

Des franchisés bien accompagnés pour devenir indépendants sans être isolés

Une Formation de 4 semaines est offerte aux futurs gérants de franchise pour acquérir savoir-faire et

techniques de l’entreprise, puis ils bénéficient d’un accompagnement au lancement de leur magasin

(choix du local, financement, recrutement des équipes, plan média…), d’une assistance technique et

commerciale, et d’animations réseau régulières (réunions produits / marketing, réunions régionales,

conventions…).

La franchise : une solution pour éviter l’isolement

L’adhésion à un réseau de franchisés reste un bon compromis pour les futurs chefs

d’entreprises  en recherche d’autonomie mais freinés par la peur de l’isolement, certains préfèreront

s’accorder le soutien d’homologues professionnels pour les rassurer.

Contact : Remzi KURBAN- Tel : 02.38.57.10.51- remzi.kurban@oeba.fr