IMG_0144

La literie de luxe made in Yonne

200 000 couettes et sur-matelas, additionnés à 2 millions d’oreillers sont produits chaque année par la Compagnie Dumas basée à Tonnerre. Entreprise familiale créée en 1880 et installée à Tonnerre depuis 1910. Le Directeur Général, Edouard Dumas, représente donc la 5ème génération à s’occuper de notre ‘bien dormir’.

Meunier, tu dors…

Petit clin d’œil au moulin dans lequel sont installés les bureaux de l’entreprise. Fabriqué à partir de matières synthétiques, de duvet d’oie ou de canard, souple, moelleux ou ferme, un oreiller adapté améliore le sommeil de chaque dormeur de 24 minutes selon une étude très sérieuse menée par le Centre du sommeil et de la vigilance de l’Hôtel Dieu à Paris.

‘L’entreprise de 46 personnes est gérée en bon père de famille’, comme aime à le rappeler Edouard Dumas. ‘Chaque jour, nous travaillons à dynamiser nos marques (Dumas Paris, Petit Meunier et Compagnie Dumas), à innover en proposant de nouveaux produits, mais aussi en nous souciant de l’impact environnemental puisque nous nous sommes engagés à préserver notre planète, nous développons nos parts de marché à l’international et sélectionnons des matériaux de qualité afin de satisfaire notre clientèle’ nous explique le dirigeant de la Compagnie.

Une charte éthique et une charte environnementale

 

Depuis 2001, la Compagnie Dumas a souhaité nous investir autour de deux axes éthiques principaux : le respect de la personne et de son environnement (respecter les droits humains fondamentaux, assurer la protection animale et préserver l’environnement) et le respect du bien dormir (assurer la sécurité et la qualité des produits et garantir au consommateur leur conformité et leur origine).

La charte environnementale, quant à elle, a été mise en place en 2009 après la réalisation d’un bilan ADEME (Agence De l’Environnement de la Maîtrise de l’Energie) visant à économiser l’eau, l’énergie, privilégier les matériaux d’origine française naturels ou recyclés pour éviter les transports longs (le transport des collaborateurs a aussi fait l’objet de propositions) et en réfléchissant à renouveler machines pour des matériels dont la consommation énergétique est moins importante. Tous les produits respectent la norme GSD qui permet d’éviter les traitements anti-acariens entre autres. Couettes, sur-matelas et oreillers sont vendus à travers le monde aux hôteliers, grossistes, compagnies aériennes, en grande distribution, aux sociétés de vente par correspondance.

La compagnie Dumas s’inscrit dans le Tour Made in France de la CAMIF

Chaque année durant cinq semaines, Emery Jaquillat, Président de la société de ventes par correspondance et son équipe, va à la rencontre des fabricants et de leurs collaborateurs, ‘une démarche originale et atypique’ comme il la nomme. 150 fabricants français au catalogue, soit 73 % des fournisseurs. Depuis son rachat en 2009, l’enseigne a misé sur la qualité française. Chaque client peut choisir en ligne un produit en fonction de son lieu de fabrication. Un impact positif sur l’emploi et l’environnement. Des vidéos en ligne sont proposées aux consommateurs pour qu’ils puissent s’imprégner du savoir-faire français, soit une croissance de 60 % de chiffre d’affaires pour les entreprises ayant accepté de jouer le jeu de la transparence. Une prise de conscience qui a pour but de changer les comportements d’achats et de recréer de l’emploi sur le territoire national. Chaque entité intégrée au Tour Made in France invite les clients CAMIF à des ateliers pendant lesquels ils pourront proposer des innovations, un processus de modernisation pour la création de nouveaux items. Un laboratoire de recherche et développement à portée de main.

Article paru le 24 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

 

Franck Gorka

Artaliis, créateur d’enceintes acoustiques innovantes

‘C’est en voyant les consommateurs écouter de la musique sur des Ipod, des smart phones et toute cette gamme de petits produits Apple, marque pour laquelle j’ai travaillé pendant 20 ans, que j’ai eu l’idée de mettre au point une enceinte à brancher sur ces appareils pour avoir une bonne qualité de son’ nous explique Franck Gorka, créateur et associé d’Artaliis, électro- acousticien de formation.

 

Standards ou sur mesure, les enceintes Artaliis sont cinq fois moins encombrantes que des enceintes dites ‘classiques’ avec un son de meilleure qualité. Plus petites, on peut les déplacer plus facilement. Les  finitions sont high end ou haut de gamme c’est-à-dire que les laques sont soigneusement choisies  pour valoriser le produit qui peut être aussi recouvert de cuir selon la demande du client. ‘Les italiens sont très connus pour leur bon goût en matière de mobilier, alors nous nous sommes rendus dans une usine près de Venise pour nous imprégner de leur savoir-faire en matière de peinture et de laquage. Nous avons une clientèle aisée avec des demandes particulières comme acquérir des enceintes de limousine du même blanc nacré que la peinture intérieure du véhicule, des débouchés intéressants s’ouvrent à nous’ détaille Franck Gorka. L’esthétique est très importante dans ce type d’éléments.

 

Bientôt installés dans l’Yonne

 

Le siège social est déjà basé à Sens mais Artaliis a besoin d’un local spécifique et suffisamment grand pour déménager ses installations. C’est Serge Garcia, Président de Défi Son, qui est à l’origine de l’implantation de la start-up dans l’Yonne (l’endroit n’est pas encore défini à ce jour). Défi Son œuvre depuis plusieurs années pour que notre département soit reconnu comme le pôle d’excellence des filières du son, de la vibration et de l’acoustique (voir notre article du 6 février dernier). Créée en octobre 2016 dans l’Aube, la TPE espère embaucher une troisième personne très prochainement en plus de ses deux associés créateurs, Franck Gorka et Jean-Michel Donzé..

 

Une entreprise écoresponsable

 

Un qualificatif qui fait écho notamment en Europe du nord où cette sensibilité est essentielle pour développer son marché : Une fabrication avec des matériaux respectueux de l’environnement. Franck Gorka espère trouver dans l’Yonne ou à proche distance, des partenaires notamment en ébénisterie, laquage et créer un partenariat avec une entreprise spécialisée dans le travail des métalloïdes, une compétence singulière pour l’assemblage de plaques dans le respect d’une procédure tout aussi particulière. Les associés se garderont la partie technologique, très spéciale.

 

Un salon international prévu en 2018

 

Afin de se faire connaître d’avantage sur la scène internationale, Artaliis participera en 2018 à High End Munich en Allemagne, un salon d’envergure qui permettra de nouer des alliances avec des grossistes ou revendeurs spécialisés, à l’étranger. La demande croissante pour ces produits high-tech est parfois originale et conduit à intégrer les haut-parleurs et l’électronique (sans le boîtier de l’enceinte) à l’intérieur de yachts ou de jets privés.

La TPE a obtenu le 22 juin dernier le prix de la Start-up de l’année lors de la Cuvée 2017 des ‘Grands Crus de l’Yonne’ organisée à Chablis.

Article paru le 17 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

Johanna Nolin, Responsable de l'antenne d'Auxerre

L’Envol se pose à Auxerre

Un emplacement de choix sur les quais, en bordure de l’Yonne, c’est là qu’a choisi de s’établir la Coopérative d’Activités et d’Emploi regroupant l’Envol pour les métiers des services et Coop en Bât pour les métiers relevant du bâtiment. ‘L’Yonne regorge de compétences et notre taux de pénétration est trop faible par rapport aux autres départements à cause de l’éloignement. Nous avons détecté un besoin de proximité de nos actuels entrepreneurs icaunais et des potentiels porteurs de projets qui aimeraient rejoindre notre structure. Ici, un espace est dédié aux entretiens et accompagnements individuels menés par la Responsable d’antenne, Johanna Nolin et une salle plus grande est destinée à recevoir collectivement des formations et autres réunions’ nous explique Pascal Olive, directeur de l’Envol à Dijon.

Qu’est-ce qu’une Coopérative d’Activités et d’Emplois ?

Cette formule permet à tout futur dirigeant de tester son activité en restant salarié d’une structure et en bénéficiant d’un cadre juridique. Le chiffre d’affaires généré est transformé en salaire, lissé sur l’année. La coopérative gère la comptabilité de l’entreprise, met à disposition un logiciel de gestion commerciale, vient en appui des questions administratives et marketing, propose des formations dans divers domaines nécessaires à la bonne gestion de chaque société. Le créateur n’est plus seul, mais peut partager ses expériences, ses succès et ses difficultés.

L’objectif de l’agence icaunaise

Deuxième agence avec celle de Dijon, une ouverture financée par le fond de dotations AACUC (entendez Anciens Amis de la Coopérative Université Club). ‘Ce don initié par les anciens entrepreneurs de la CAE couvriront les frais de fonctionnement des trois prochaines années’ nous confie Johanna, Responsable de l’antenne dont la mission est de développer des partenariats auprès des acteurs icaunais comme La Fabrique à Entreprendre basée, elle, à Sens. ‘Notre souhait d’ici trois ans est d’atteindre le nombre de trente chefs d’entreprise sachant qu’ils sont au nombre de six aujourd’hui sur le département de l’Yonne. Parmi eux, une maroquinière, une éducatrice canine, deux graphistes, une charpentière et un maquettiste’, poursuit-elle.

En 2016, la coopérative a accueilli 103 porteurs de projets.

Article paru le 17 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

DSCF2389

Sophie Charpente en solo

Deux ans passés à reconstruire notre patrimoine grâce à des chantiers internationaux organisés par des associations lors d’un service volontaire européen et d’un service civique ont permis à Sophie Wintzer de se familiariser avec la pierre, le bois, la poterie ou la petite maçonnerie. Sensible à la conservation de nos monuments historiques, cette licenciée en histoire a choisi de se perfectionner dans le travail du bois en passant un CAP (Certificat d’Aptitudes Professionnelles) en charpente-bois. Pendant quatre années, elle sévit sur le chantier médiéval de Guédelon dans l’Yonne  ‘un travail spécifique et très intéressant’ nous confie-t-elle, mais l’envie de voir autre chose et de créer par elle-même s’imposent.

‘Je cherchais une solution sécurisante et peu onéreuse pour m’installer à mon propre compte, c’est ainsi que j’ai rejoint Coop en Bât en mars dernier, la Coopérative d’Activités et d’Emploi bourguignonne’. La spécialité de Sophie est l’équarrissage : le travail du bois à l’ancienne comme le façonnage à la hache. Une pratique très intéressante en matière de rénovation qui permet de préserver l’esthétisme d’une bâtisse ancestrale. La jeune charpentière excelle en charpente traditionnelle avec assemblage.

Une femme dans un univers masculin

‘Mes collègues hommes m’ont toujours bien acceptée et intégrée malgré toutes mes craintes et mes appréhensions’. Basée à Treigny en Puisaye, en limite de l’Yonne et de la Nièvre, ses collègues artisans font souvent appel à ses compétences pour lui déléguer leurs surcharges de travail. Son entreprise est toute récente mais le réseau professionnel et personnel, les recommandations de ses clients lui apportent régulièrement des affaires. A la question du poids des objets qu’elle doit porter, Sophie répond que l’escalade qu’elle pratique régulièrement contribue à sa force physique : ‘j’anticipe pour préserver ma santé, il suffit de réfléchir à une organisation logistique optimisée afin de ne pas trop forcer sur ses membres’ poursuit la jeune créatrice.

Son souhait est de développer l’accompagnement de chantiers pour que ses clients apportent leur touche personnelle dans leur habitation. Sophie aime transmettre son savoir-faire et a déjà eu l’occasion de tester ses compétences en pédagogie notamment au château médiéval de Guédelon.

Article paru le 17 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

Isabelle Galet-Coty, Présidente et Baptiste Hebert, Responsable Etudes et Production

Un moteur à énergie solaire

Trois fois moins onéreux sur 10 ans en terme de mètres cubes d’eau pompée qu’un dispositif conventionnel comme une motopompe ou un générateur diesel, ce moteur conçu et inventé par Alain Coty a toutes les raisons de devenir un succès mondial. Voilà 5 ans que le modèle fait l’objet d’un développement intense. Il est actuellement en cours d’homologation pour être vendu en séries d’ici la fin 2017. ‘Une histoire de famille’ nous explique Isabelle Galet-Coty, Ingénieur en Sciences Physiques appliquées et Présidente de Saurea ‘puisque mon beau-père, ingénieur en électrotechnique et chercheur est à l’origine du projet. Nous sommes six associés complémentaires sur tous les domaines de recherche et amélioration du moteur’.

5 brevets 5 prix de l’innovation

Le moteur de 130 watts fonctionne grâce à deux panneaux photovoltaïques et à un arbre tournant. Il fonctionne exclusivement grâce à l’énergie solaire, il tourne doucement au lever et au coucher du soleil, et plus rapidement pendant la journée, la nuit, il s’arrête. Le moteur, assemblé à une pompe peut extraire 1500 litres d’eau par minute. Aucune maintenance n’est à prévoir pendant 25 ans. Un dispositif étanche, une force centrifuge qui élimine l’eau et les poussières, et refroidit les cellules en surface. Une petite révolution dans le domaine industriel. Le dernier prix reçu est celui de l’innovation du GIFA (Groupement International des Femmes Africaines) : le GIFA d’or  en date du 10 juin 2017.

Des stations pilotes en Afrique et dans les DOM

Afin de tester son moteur, la TPE de deux salariés, basée à Auxerre, dont Isabelle Galet-Coty et Baptiste Hebert, jeune ingénieur en charge des études et de la production (en alternance), souhaitent établir des filiales sur d’autres continents. La première est implantée en Guinée, Saureafrica, pour développer la commercialisation des engins sur l’Afrique subsaharienne. Une dizaine de stations pilote sont d’ores et déjà en fonctionnement en Guinée, au Maroc, aux Comores (Mayotte), à Madagascar et dans le sud de la France. Une nouvelle station est en projet en Martinique. Les installations sont protégées dans des espaces grillagés, fermés à clé et inaccessibles à hauteur d’homme.

Trois applications différentes pour le moteur Sauréa

Tout d’abord, la mise en application couplée à un système de pompage. Des capteurs sont prévus pour mesurer la vitesse, le débit et l’hygrométrie. L’analyse des données et leur synthèse sont effectuées sur Paris en collaboration avec l’Ecole Normale Supérieure de Cachan. La deuxième application est couplée à une pompe aéraulique et la dernière à un système de brassage d’eau. Les applications sont multiples et peuvent être utilisées dans des domaines divers et variés : les ONG pour les sites isolés, la ventilation de bâtiments agricoles ou l’autorégulation de la température, les hôpitaux, les usines, les écoles, le traitement des eaux stagnantes ou des stations d’épuration, le lagunage aéré, sur des sites touchés par des tempêtes ou des sinistres, des bases militaires… ou simplement par engagement citoyen. Pour une utilisation chez les particuliers, Sauréa pense à mettre au point des kits d’installation standardisés.

Un produit 100 % français

Actuellement en phase d’optimisation du prix de revient, Baptiste et Isabelle recherchent des fournisseurs et sous-traitants locaux afin de diminuer leur bilan carbone. Ils ont conçu un petit moteur destiné à être utilisé par les lycées et grandes écoles pour les travaux pratiques sur les énergies renouvelables ou comment convertir l’énergie solaire en énergie mécanique.

Fin 2017, le moteur sera homologué CE, prêt à la vente et un appel aux investisseurs et aux dons par financement participatif sera mis en place. 200 000 €uros seront alors nécessaires aux investissements en matériel, en ressources humaines et au développement même si des subventions ont déjà été reçues.

Article paru le 10 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.

IMG_20170627_110422

L’économie de demain à Auxerre

La préparation de cet événement né de la collaboration entre Défi Son et Initiactive 89 (ex-Yonne Active Création) a vu le jour en mars dernier. Promouvoir notre département en organisant des événements d’envergure relayés au niveau national à l’automne puis international dès 2018, tel est le défi de ces journées pour penser le monde économique autrement. ‘Nous souhaitons remettre l’humain au cœur de l’économie et attirer les entreprises dans notre beau département’ nous confie Francis Moreau, directeur d’Initiactive 89, ‘la préparation de cette première édition nous a occupés durant huit mois pendant lesquels nous avons créé une marque, un site internet et fédérer des entreprises, organismes, élus des mairies et des communautés de communes, personnels enseignants sensibles aux thématiques proposées’ poursuit-il.

La transition économique des territoires de l’Yonne en Bourgogne Franche-Comté

L’enjeu de cette journée a été d’informer, de comprendre et d’expliquer des idées, des expérimentations, des projets, des actions en cours et déjà des résultats à un public curieux de découvrir comment l’humain peut être remis au centre des préoccupations de chacun. Plus d’une  vingtaine d’intervenants locaux et régionaux se sont pris au jeu pour transmettre à un public éclectique des valeurs humanistes. Notre société évolue et parfois dérive, les nouvelles économies mettent en avant les nouvelles gouvernances avec par exemple la promotion de l’holacratie (entendez gouvernance fondée sur la mise en œuvre formalisée de l’intelligence collective), la nouvelle économie sociale, le développement des territoires et de la ruralité avec la création de drives fermiers, l’économie circulaire, la transition énergétique pour diminuer voire éviter toute forme de pollution…

Préparer les futurs agriculteurs aux défis du monde de demain

C’est la vocation de la Maison Rurale et Familiale du jovinien basée à Villevallier. ‘Nous formons une cinquantaine de futurs agriculteurs de la 4ème au Bac Pro section Conduite et Gestion d’une exploitation agricole. Nous partons d’un référentiel de base que nous enrichissons par des modules sur les nouvelles technologies dans l’agriculture, l’agroécologie, la visite de coopératives agricoles pour travailler avec les élèves sur l’organisation, les débouchés en terme de marchés et nous analysons également des articles de la presse professionnelle. Nous essayons de les confronter au concret le plus souvent possible. Par exemple, lors du projet national de ’la ruche qui dit oui’, nous avons créé un site internet pour lequel les élèves ont démarché des producteur à moins de 60 km à la ronde, leur ont proposé de mettre en ligne leurs spécialités, et ont ensuite du trouver les acheteurs. Chaque vendredi soir, ils sont ainsi confronter à de vrais clients qui viennent chercher leurs commandes et auxquels ils sont en mesure d’expliquer la fabrication, l’exploitation d’où proviennent les différents articles (miel, fromages, bières, viande…). Ainsi nous leur enseignons les bénéfices à favoriser l’agriculture locale en circuits courts pour préserver notre environnement et la garantie de se nourrir en privilégiant une meilleure qualité’ comme nous l’explique Anaïs Gatard, la monitrice en charge du projet ruche.

Les Journées Nouvelles Economies seront reconduites dès les 4 et 5 octobre dans les locaux de l’ancien IUFM rue des Moreaux à Auxerre et seront suivies en 2018 d’une journée internationale.

Photo : des lycéens découvrent l’agriculture de conservation chez Sep de bord, un groupement d’exploitants de la région de Brienon, une forme de nouvelle économie.

Article paru le 10 juillet 2017 dans le Journal du Palais de Bourgogne Franche-Comté.